En novembre, trois articles récents sur les vélos en ville m’ont intéressé : en effet ma modeste expérience de piéton, régulièrement victime de certains cyclistes, sur les trottoirs ou sur les passages dits protégés, expérience que je croyais isolée, voire un peu parano, se trouve conforté par la grande presse. C’est d’abord, un article du Figaro, je cite : À Nantes, l’essor « dogmatique» des vélos à l’épreuve du savoir-vivre. On peut y lire, je cite que
les cyclistes triomphants auraient cependant succombé, dans l’euphorie de leur croissance, aux mêmes vices jusqu’alors vilipendés chez les chauffards : monopolisation des voies partagées, insultes, arrogance, mise en danger d’autrui…