Lorsque l’on parle de nos souffrances comme croyant, on peut vite partir sur des fausses routes de nos souffrances qui auraient une valeur expiatrice qui ajouteraient quelque chose au salut du Christ. Paul dans la lettre aux Colossiens écrit pourtant : « en ma personne, je complète ce qui manque encore aux souffrances du Christ pour son corps, qui est l’Église » (Col 1, 24). Qu’est-ce que cela signifie alors ?
Le culte protestant